Adresse :
Parc Leopold Bruxelles
Coordonnées GPS :
50.8395 , 4.3802
Inventaire scientifique :
804

Carte d'identité

Catégorie :
Arbre remarquable
Nom en latin :
Taxodium distichum
Nom en français :
Cyprès chauve
Nom en néerlandais :
Moerascipres
Nom en anglais :
Bald cypress
Famille :
Taxaceae
Hauteur :
25 m
Hauteur visée :
Cette espèce peut atteindre 30-35 m
Diamètre de la couronne :
10 m
Circonférence du tronc :
247 cm
Circonférence espérée :
500 cm
Longévité espérée :
Peut vivre plus de 1200 ans, voire Peut-être jusque 3000 ans dans son aire d’origine
Origine / Indigène :
Sud Est des Etats Unis
Sol préféré :
Aime les sols humides
Climat préféré :
Tempéré, chaud (et humide de préférence), mais s’adapte aux climats tempérés frais

Utilité et services de l'arbre

Embellit le paysage :
+++ trio qui orne le bord de l’étang
Enrichit la biodiversité :
++ espèce assez rare
Fournit de l'oxygène :
++ grande surface foliaire en été
Purifie l'air :
++ effet de groupe en zone urbaine
Filtre l'eau :
+++ apprécient les sols humides
Évite les inondations :
+++ pompent et transpirent beaucoup d’eau
Stocke le carbone :
++ bois très durable
Adoucit le climat :
++ ombrage la promenade autour de l’étang
Limite l'érosion du sol :
+++ stabilisent les berges
Fait du bien, guérit :
essence d’ornement
Collection de l'Etat fédéral belge en prêt permanent au Jardin botanique de Meise : Mouillefert, Traité des arbres et arbrissaux, Atlas, pl. 32bis, 1892-1898

Traits et caractères de l'individu

Plusieurs cyprès chauves, flamboyants en automne, ont été plantés par les jardiniers pour embellir le parc Léopold dans les années 80. Leur silhouette pyramidale se détache déjà nettement du paysage. Leur écorce rouge-brun apporte un ton chaud dans les brumes matinales. Leur feuillage, vert pâle au printemps, et roux en automne, se reflète dans l’étang. Les cyprès chauves font partie des rares conifères frappés de calvitie durant la saison froide. En hiver, ils se font plus discrets, car ils perdent leurs aiguilles. Mais certains détails permettent de les remarquer en toute saison. Dans la pelouse autour d’eux on trouve d’étranges galets en bois. Ce sont leurs racines aériennes, des « pneumatophores », qui pompent l’oxygène pour permettre à leur système racinaire de respirer dans le sol imbibé d’eau.

Photos: Priscille Cazin - Sylvolutions.eu
© PC-Z
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