Adresse :
Quai AA (Ecluse)
Anderlecht
Coordonnées GPS :
50.8194
, 4.3022
Inventaire scientifique :
Carte d'identité
Catégorie :
Arbre remarquable
Nom en latin :
Salix x sepulcralis
Nom en français :
Saule pleureur
Nom en néerlandais :
Treurwilg
Nom en anglais :
Golden weeping willow
Famille :
Salicaceae
Hauteur :
12 m
Hauteur visée :
Cette espèce peut atteindre 25 m
Diamètre de la couronne :
12 m
Circonférence du tronc :
386 cm
Circonférence espérée :
400 cm
Longévité espérée :
Peut vivre jusque 80 ans
Origine / Indigène :
Mystérieuse
Sol préféré :
Aime les sols de préférences humides et riches
Climat préféré :
Tempéré
Utilité et services de l'arbre
Embellit le paysage :
+++
position centrale dans le paysage
Enrichit la biodiversité :
++
essence courante, tronc creux
Fournit de l'oxygène :
+++
grande surface foliaire
Purifie l'air :
+++
idem, en zone industrielle
Filtre l'eau :
++
espèce qui transpire beaucoup d’eau
Évite les inondations :
-
l’écluse s’en charge
Stocke le carbone :
+
bois peu durable, en cours de dégradation
Adoucit le climat :
++
ombrage le quai
Limite l'érosion du sol :
ø
Fait du bien, guérit :
+++
mellifère, écorce contient de l’acide salicylique, utilisé en pharmacie dans la production d'aspirine
Collection de l'Etat fédéral belge en prêt permanent au Jardin botanique de Meise. <https://www.plantentuinmeise.be/fr/home/> Camus, Atlas de la monographie des saules, pl. 22, 1904.
Traits et caractères de l'individu
Comme le saule de l’écluse de Molenbeek, ce saule pleureur se tient bien droit comme un phare. Il veille sur l’écluse d’Anderlecht ainsi que sur la maison de l’éclusier. Le saule pleureur est réputé pour son rôle de gardien des berges car ses racines traçantes empêchent l’érosion du sol par les cours d’eau. Serait-ce aussi l’arbre protecteur des éclusiers bruxellois ? Qui sait… Quoiqu’il en soit, cet individu-ci se porte particulièrement bien entre le canal de Bruxelles-Charleroi et un petit bras à ciel ouvert de la Senne. Ses racines traçantes, capables d’explorer le sol sur de longue distance ont sans doute trouvé de part et d’autre de quoi assouvir sa grande soif.
