Adresse :
Parc Tournay - Solvay Watermael-Boitsfort
Coordonnées GPS :
50.7946 , 4.4103
Partenaire :
Cet arbre a été ajouté à l’atlas de Wood Wide Web par Luc Vandermaelen

Carte d'identité

Nom en latin :
Cedrus libani
Nom en français :
Cèdre du Liban
Nom en néerlandais :
Libanonceder
Nom en anglais :
Cedar of Lebanon
Famille :
Pinaceae
Hauteur :
Hauteur visée :
Cette espèce peut atteindre jusqu’à 40 m
Diamètre de la couronne :
Circonférence du tronc :
Circonférence espérée :
700 cm
Longévité espérée :
Peut vivre entre 300 et 500 ans
Origine / Indigène :
Afrique du Nord, Asie Mineure
Sol préféré :
Sols bien drainés
Climat préféré :
Sensible au gel les premières années

Utilité et services de l'arbre

Embellit le paysage :
ø
Enrichit la biodiversité :
ø
Fournit de l'oxygène :
ø
Purifie l'air :
ø
Filtre l'eau :
ø
Évite les inondations :
ø
Stocke le carbone :
ø
Adoucit le climat :
ø
Limite l'érosion du sol :
ø
Fait du bien, guérit :
ø
Collection de l'Etat fédéral belge en prêt permanent au Jardin botanique de Meise : Mouillefert, Traité des arbres et arbrissaux, Atlas, pl. 27ter, 1892-1898

Traits et caractères de l'individu

Les arbres sont au coeur de quelques spectacles contés ou joués par le comédien Luc Vandermaelen. C'est l'occasion pour lui de semer des arbres dans les têtes des petits et grands. "L'arbre c'est la vie. La vie pure. Et, comme on le sait maintenant, c'est l'empathie sans calcul. L'arbre comme maître à être? Oh oui. Si je pense arbre, presque toujours je pense cèdre du Liban. Aurais-je été un cèdre dans une autre vie? Elzéar Bouffier n'a pas planté de cèdre mais des centaines de milliers d'autres essences. Pour ramener la vie. Lui aussi maître de vie. Lui dont je parle dans "L'homme qui plantait des arbres". Que je joue partout où l'on veut bien." Même au pied des arbres si vous voulez ...

L’homme qui plantait des arbres D’après un texte de Jean Giono Luc Vandermaelen, comédien Hélène Van Loo, flûtiste: "Un narrateur nous conte une histoire. Lors d’une randonnée qu’il effectue en 1913 dans les hauteurs provençales, désolées et arides, il ne croise que des villages abandonnés et des sources taries. Toute vie semble avoir quitté ces contrées désertiques. Il y rencontre un vieux berger, Elzéard Bouffier. Cet homme parle peu et semble vivre en ermite dans ces montagnes oubliées. Il s’adonne à une activité qui semble, en apparence, anodine : tous les jours, il plante des glands ! Quand le narrateur revient sur les lieux quelques années plus tard, il y découvre une forêt verdoyante et bruissante de vie ! Ecrit par Giono en 1953, ce court récit, est aujourd’hui considéré comme un manifeste à part entière de la cause écologiste. En effet, le berger ne parvient pas seulement à créer une forêt, celle-ci a des conséquences sociales et économiques, qui permettent aux villages des alentours d’accueillir de nouvelles familles alors qu’ils étaient menacés de désertification."